Les journées de novembre; c'est la même couleur fade qui se répète encore et encore. les cours qui se réitèrent et la nuit qui s'est déjà dressée lorsqu'on en sort. et le vide qui s'établit quand on pose son sac chez soi après une journée pleine de mauvaises notes et mauvaises nouvelles. Malgré la vie qui stagne, il n'y a plus de place pour grand chose. & le temps qui fait des feintes. On s'occupe comme on peut, quelques cafés-clope-macdo ou session guitare par-ci par là. Le mercredi après-midi en ville avant l'anglais histoire de respirer un peu. Et lorsque les soirées reprennent on saute à bord du train. Tequila-paf et vomi dans l'évier à 10heures, apéro chez soi qui part en suicide végétal, session spliff entre filles et les fous rires noctures avec elles. mais au fond de soi il ne reste pas grand chose. surtout cette solutide étouffante qui épuise. Reste plus qu'à trouver une nouvelle distraction. A croire qu'il va falloir reconsidérer sa vision du monde. Alors c'est ça. L'attente.
mardi 17 novembre 2009
La nuit, son sommeil se mêlait à l’odeur familière de cet inconnu, celui contre lequel elle se blottissait, enfouissait sa tête contre son cou, celui qui, quand elle s‘y attendait le moins, l‘encerclait par derrière de ses bras protecteurs, celui dont le sourire qu’elle connaissait par cœur la tiraillait de l’intérieur, celui dont elle ressentait si puissamment la présence, dont la simple proximité la ravivait d’un élan indescriptible, d’une poussée d’adrénaline inégalable. C’était comme regarder le sol du bord d’une falaise, comme s’élancer dans le vide lors de son premier plongeon, comme les dernières secondes avant minuit le soir d’un nouvel an, comme tous ces nouveaux commencements.
Mais au matin, lorsque l’engourdissement du rêve disparaissait, c’était toujours seule qu’elle se réveillait.
the xx - heart skipped a beat
Mais au matin, lorsque l’engourdissement du rêve disparaissait, c’était toujours seule qu’elle se réveillait.
the xx - heart skipped a beat
mardi 3 novembre 2009
La sonnerie retentit, et dix minutes après c'est sur la vespa accrochée à Estelle, le vent sur le visage & le sourire aux lèvres, et les rues qui défilent. C'est là que commencent les vacances.
Et une semaine et demi plus tard, on n'est juste plus les mêmes.
LE BONHEUR A L'ETAT BRUT. Paris/Lyon (L)
Mazel Tov.
Si on compte tous les verres ingurgités, les cafés, les changements dans le métro parisien, les décibels, et toutes les sessions fumette ; Je crois que j'ai deux trois neurones en moins .
I'LL TAKE YOU TO THE MOON & BACK iF YOU'LL BE, IF YOU'LL BE MY BABY
Et une semaine et demi plus tard, on n'est juste plus les mêmes.
LE BONHEUR A L'ETAT BRUT. Paris/Lyon (L)
Mazel Tov.
Si on compte tous les verres ingurgités, les cafés, les changements dans le métro parisien, les décibels, et toutes les sessions fumette ; Je crois que j'ai deux trois neurones en moins .
I'LL TAKE YOU TO THE MOON & BACK iF YOU'LL BE, IF YOU'LL BE MY BABY
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